13/9/04

Femmes, Guerre Et Féminisme : Echec de l’égalité, échec de la différence

Il y a déjà plus d’un an que la guerre en Irak e cessé. Mais il s’agit d’une formalité, vu que chaque jour se succcèdent les meutres, les combats, les prisonniers torturés…la guerre avait commencé au moment de la célébration du jour de la mère dans le monde arabe. Et les premiéres victimes des bombardements avaient des traits de femme : une adolescente de 14 ans, blessée aux jambes et à l’abdomen déjeunait à la maison. Ainsi que sa sœur et sa nièce âgée d’un an, blesures durant l’allaitement. 1
Le cri du « non à la guerre » a été entendu dans tous les continents. De différents groupes et coalitions féministes participèrent de ces mobilisations.
Plusieurs de ces voix dénonçaient la violence en tant que conduite exclusive aux masculins, aux conflits belliqueux appartenance aux garçons patriarcaux et qui postulaient aux femmes comme étant de nature à construire la paix et porteuses d’une éthique de l’amour et des soins.
Cependant au cours de la guerre on a pu assister à une cruelle réalité oú les femmes n’étations que des victimes.
Dernièrement, les photos et les vidéos montrant les « femmes soldats » américaines à la pratique d’abus sexuels, tortures et outrages à des prisonniers iraqiens parcoururent le monde.
Les voix féministes se sont tues devant ces faits ou se sont bornées à éclairer que ces femmes suivaient des conduits patriarcales. 2
Tandis que j’écrivais cet article-là, un travail appartement à Bárbara Ehrenreich titré « un utérus ne substitue guère la conscience ».
Aussi simple ? En réalité, le féminisme — autant celui de l’égalité que celui de la différence — ne peut expliquer la raison des guerres, et il ne suffit pas non plus à penser une politique qui affronterait l’impérialisme dont la domination sème la terreur et la mort.

I. Les Femmes, doublement victimes

« Il fait si froid, avec le canon d’acier oui m’annule le cœur. Je ne sais pas s’ils vont y tirer ou à l’enfoncer danantage dans moi jusqu’ à traverser mon cerveau qui tourne comme un tombeau. Six d’entre eux, des médecins monstrueux à masques noirs qui, eux aussi me pénétrent avec des bouteilles.
Et il y a aussi des barres et le bâton d’un balais. »
Eve Ensler. 3


Pendant la guerre en Iraq et en Iran (1980-1988), où les Etats-Unis offrirent des armes à Saddam Hussein contre le gouvernement iranien, des milliers d’hommes ont perdu la vie et la société s’est appauvrie.
Ces années là, les foyers soutenus pas des femmes seules augmentent et à force de mort et de douleur, les iraqiens s’incorporent en masse à la production et à l’administration étatique. Avec la guerre du Golfe en 1991, initiée par Bush père contre son ancien allié, la tendance change. Comme conséquence de la guerre, avec l’appauvrissement et le recul général de la société iraqienne, le chômage augmente ainsi que la misère de la population.
Les femmes perdent leurs postes de travail soit par la fermeture et la destruction d’entreprises industrielles, ainsi que par la détérioration des installations sanitaires, éducatives, etc. Dans de conflit, les américains lancent des bombes d’Uranium appauvri qui ont causé le cancer et outre maladies à des milliers d’iraqiens. Outre, l’imposition des sanctions établies par l’ONU à la fin du conflit armé, touchèrent la population civile encore davantage que la guerre en elle-même.
Les données sont concrètes : « en un peu plus d’une décennie on a passé d’un taux de scolarité du 94% à un 69% ; la mortalité maternelle s’est multipliée par 5 et l’accès à l’eau potable a chuté d’un 92% à un 44%. Les coupures (arrêts) d’électricité sont quotidiennes et à la capitale, Bagdad, il y a quelques 50000 foyers sans fourniture électrique. » 4
Beaucoup d’enfants des zones rurales ont dû quitter l’école par manque d’installations. Plus de 100000 adolescents et jeunes ont arrêté les études chaque année, pour aider è l’économie familiale, notamment les jeunes des milieux ruraux. Selon les mêmes données de l’ONU, la détérioration incluait le manque de factures de production tels que les crayons, le papier, les tableaux, etc.
Le même organisme a, de même, dénoncé qu’un pupitre était partagé par quatre enfants et que la majorité des écoles manquait de soins de secours. Le manque de médicaments, d’instruments et d’installations sanitaires ont obligé à ne faire que des chirurgies urgents et plusieurs césariennes se sont réalisées avec un minimum d’anesthésie. Il n’ y avait pas de médicaments pour ceux qui subissaient des maladies croniques comme le diabète, reuma ou haute pression. Le nombre des accouchements prématurés et des enfants nés morts ou à un poids très bas, cela à couse de la tension psychique et sociale, le mouvais cadre de vie, le manque d’attention adéquate et les difficultés pour l’accès aux des périodes de règles, perte de cheveux, des problèmes sur la peau, l’insomnie et la perte de poids, sont les principaux problèmes des femmes.
Dans cette deuxième guerre, lorsque les bombes de Bush fils retombent sur le territoire iraqien, beaucoup de femmes se trauvaient ou soutien des foyers à partir de la vente de pain, de légumes ou à demander l’aumône dans les rues. 5
Actuellement il existe encore les détentions en masse, à la tois des milliers d’iraqiens ont passé ou sont détenus en douze centres de prison, sous les ordres des troupes de la coalition impérialiste. Le Centre de l’Observatoire de l’Occupation à Bagdad, une organisation non gouvernementale agissant dans la région, et quelques médias (la presse) arabes ont publié — plusieurs mais avont l’apparition du scandale des photographies d’Abu Ghraib —, quelques témoignage de femmes qui ont été détenues dans ces prisons lé.
Une de ces femmes a témoigne qu’elle a été introduite dans une salle dont le seule fenêtre était couverte par des briques et que la porte avait des plaques en métal. « Le J’ai essayé de une placer dans la chambre ou moyen de mes mains. Il y avait des lits métalliques avec des couvertures. Je me suis assise sur l’une d’elles. J’ai entendu quelque chose dans la chambre, J’étais effrayée, l’au pensé que c’était une vipère. Quelque chose o griffé les doigts de mon pied et m’a fait mal. Je me suis rendu compte que c’était un rat. J’ai secoué mon pied je une suis assise avec les jambes croisées sur le lit (…). J’ai commencé a réciter des vers du Coran. J’étais inquiète pour une mère qui est handicapée et pour mes soeurs (…). J’ai cherché ou sol quelque chose à mettre sur le lit. Il faisait trop de choleur pour s’asseair carton. Je l’ai étendu et le mit sur le lit (…). J’ai essayé de découvrir ce que c’étaient ces bruits et me rendis compte qu’il y avait une caisse remplie d’ordures, des restes d’aliments et des cartons de Zumo vides. Il y avait des rats dedans qui fouillaient. L’un me mordit ». 6
Le témoignage d’une outre femme dont le récit sont ses jours de prison à Bagdad : « Il y avait 56 femmes. Ses chambres s’ouvrent à un couloir ouvert. Il faisait beaucoup de froid. Les courants d’oir empiraient cela. Il y avait des fenêtras prés du toit mais il n’y avait pas de vitres. Les maladies nous tenaçaient : des affections d’estomac, colon, diarrée, rhumes sévères et infection d’ouies. Nous devoirs nous lover à l’eau froide, pas d’eau chaude (…). On coupe l’eau oprés un certain temps (…). Une prisonnière a été violée 17 fais suivies par un policier iraqien en connaissance pleine des états-uniens. Elle ne se trouvait pas bien, elle et restée en silence et ne faisant que vomir tout le temps. Ils l’ont prise et on n’a plus rien su d’elle. » 7
Un témoignage de plus faisait allusion aux tortures subies pas ces femmes : « Oh m’a obligé à mélanger le contenu d’ordures et d’excréments humains et de pétrole dans un grand pot. J’ai dû le faire au feu jusqu’à sa consommation. J’ai souffert une allergie à cause de cela : je n’ai pas pu manger durant un certain temps. Maintenant, lorsque je me souviens je deviens malade et j’ai envie de vomir. Jái été attachée durant 27 jours. Que voulez-vous que je vous dise d’autre ? » 8
Une femme, dont le mari était détenu, à été mise face à lui. Un américain obligeait l’homme à regaider sa femme ou moment où d’outres gardiens le violaient à plusieurs reprises. Sa sœur, lors qu’elle est libérée, l’a aidée pour qu’elle puisse exécuter sa progre décision de se suicider. Elle n’est pas le seule.
Au point où nous sommes se suicident. D’outres out été assassinées par leurs progres familles par le fait de ne pas supporter l’humiliation.
La guerre est, pour les femmes, la plus horrible des barbaries : des fillettes osphelines devant garder leurs frères et sœurs, des femmes sans soutien dans des villes dévastées, des jeunes violées par l’ennemi et insultées par leurs propres familles, des vieux perdus et à l’abandon. Contagionnées par le VIH-Sida, enceintes par le force, obligées à se prostituer en échange d’aliments, torturées, mutilées, utilisées comme des écus humains.
Et c’est cela le destin des femmes dans toutes les guerres. Comme un coup très dur sur le visage infiniment dur. Comme une violation éternelle. Ainsi que les humiliations de tour les jours, mais énormément plus insupportables.
Une réfugiée d’Ethiopie disait il y a presque une décennie, à AMNISTY internationale : « On était quatre : mes deux enfants — âgés l’un de quatre et l’outre de deux ans —, le guide et moi. J’étais enceinte de cinq mois. Sur le chemin on nous arrête, ils étaient deux, ils nous demandaient où nous allions. Quand on leur 2 dit, l’un d’eux m’a emcurenée à part et une dit : ‘ Sans sexe, pas de passe ! ‘ (…) il me pousse et me jette par terre, un coup de pied à l’estomac et me violation face à mes enfants. Il savait que j’étais enceinte, mais il s’en foutait. » 9
Une outre survivante du Rwanda, a déclaré : « En février 1994, chez mes parents, sept hommes ont violé une veuve qui séjournait avec sa famille. Un des hommes a dit : ‘ Au moins, un parmi nous est atteint de sida ‘. La veuve est morte, un mais après, de cette maladie. » 10
D’après une source de l’ACNUR, organisme de l’ONU pour les réfugiés, le 80% des 50 millions de personnes déplacées dû aux guerres sont des femmes. Si elles traversent les frontières, elles assument la catégorie de réfugiées, mais si elles demeurent en déplacement sus leur progre pays alors elles n’ont rien, aucun mécanisme légal pour leur aide et elles sont victimes d’abus.
« Si une femme ou fille refuse (aux faveurs sexuelles), ou moment des repas ou des médecines, son nom ne sera pas sur la [liste] », déclarait une femme de Sierra Leona. « Si tu n’as pas de sœur, fille ou femme à offrir aux volontaires, il devient difficile d’avoir une aide », déclare un homme ». 11
En Bosnie, 200000 femmes ont été violées par l’armée serbe comme politique de « nettoyage ethnique ». Dans toutes les guerres, les bases militaires sont entourées de bourdels, cabarets, clubs de nuit. De nos jours, la nouvelle sur les « démocratiques » forces au Kosovo contrôlent un réseau de prostitution de femmes et de jeunes filles. La dénonciation d’Amnesty International exhorte l’Union Européenne ò fournir l’aide légale et financière à la lutte contre le trafic de femmes au Kosovo où les forces internationales de la Paix apportent des clients aux proxénètes. 12
Pour les femmes, l’horreur de la guerre est différent que pour les garçons : elles ont mains de nourriture, on leur nie l’assistance médicale et on leur vole leurs biens. Si elles ne meurent pas à l’instant des bombardements, elles meurent lentement oprès avoir souffert tout type d’outrages ou abus. Ou bien elles survivent et essoyent de reconstruire une vie qui ne sera plus jamais la même.

II- Egalité d’opportunités pour bombarder et torturer


« PRAXÁGORA : Je dirai qu’il est nécessaire que tous les biens soient communs, que tous les citoyens y participent de façon égale et vivent de ce même fond : et non pas que celui ce soit riche et celui-là pauvre ; qu’il n’y ait pas quelques-uns cultivant un champ immense et un autre n’ayant rien ; que celui-ci ait à son service de nombreux esclaves et l’outre n’en ait aucum. Enfin, j’établis une manière de vivre commune à tous et pour tous la même.
BLÉPIRO : Comment ce sera commun à tous ?
PRAXÁGORA : Tu mangeras de la merde avant moi.
BLÉPIRO : Nous aurons aussi notre part de merde ? »
ARISTÓFANES 13


La nouveauté de cette guerre n’est pas le nombre de victimes, ni les souffrances subies par les femmes iraqiennes comme conséquence de l’attaque impérialiste. Ce qui a éveillé un grand débat. C’est le fait de la présence de femmes parmi les trempes de la coalition.
Un sur dix soldats envahisseurs en Irak est une femme. De ces femmes, une sur sept est entraînée pour n’ importe quelle action belliqueuse. Parmi les marins, elles sont d’un 7 %. Et elles ont été 300, les pilotes de guerre qui ont réalisé des missions d’approvisionnement et appui à leurs trempes.
Peu de mais avant le débarquement en Iraq, c’était durant l’attaque perpétré contre Afghanistan que les Etats-Unis offre sa première femme pilote à lancer des bombes depuis son avion et les premiers avions d’approvisionnement et d’appui totalement car duits par femmes.
Des sept soldats américains qui sont maintenant accusés par abus et tortures à Abu Ghraib, il y a trois femmes : il s’agit de la gardienne de sécurité Sabrina Harman. La prison était à la charge d’une femme, général Jamis Karpinski. L’officier de rang le plus élevé de l’intelligence américaine en Irak, qui était responsable de superviser e’ état des détenns evant leur libération, était la Commandant en chef Barbara Fast. Et le conseil de Sécurité National des Etats-Unis, un des organismes responsables à la déclaration de guerre en IRAK, est Condoleezza Rice. Celles-ci sont alors les antres femmes de cette guerre.
Même si ce n’est pas la première fois que les femmes sont présentes dans les guerres, il est pourtant vrai que dans cette occasion. Lé la pogrostion a augmenté dans les armées de tans les pays de la coalition et de plus, lem participation n’est pas limitée à des tâches d’arrière-garde comme dans des conflits antérieurs : les femmes ont piloté, ont lancé des bombes et ont de même torturé en « égalité » avee les gargons.
Après la guerre du Viet-NÂM, quand le gouvernement des Etats-Unis s’ est vu obligé à annuler le service militaire obligatoire par la perte de respect de l’ institution vis-à-vis des masses, prend forme une participation accrue des femmes dans l’ armée. Avec l’apolitique de « All volunteer force », le pourcentage de gargons qui s’inscrivaient daus les forces armées comme volontaires a descendu proportionnellement aux femmes, ce dernier augmentant vertigineusement.
Durant la première Guerre au Golfe, avec Bush- père à sa tête, les femmes constituaient le 11 % des forces déployées dans la région. Leurs tâches se limitaient à des responsabilités de pende risque et n’avaient anenne participation directe en combats. Fieri la guerre, le président des Etats- Unis de ce moment là crée une commission de spécialistes chargée d’analyser si les femmes devaient participer en combats. Finalement, en 1994, toutes les restrictions pour les femmes dans les forces armées sont éliminées et le secrétaire de défense américain a permis l’incorporation des femmes dans toutes les aires. Depuis ce moment, 260000 nouveaux postes pour les femmes se créent.
Ceci n’arrive pas seulement aux Etats-Unis. En Espagne, il y a deux aux, un train a parcouru le territoire publicitant les avantages d’ appartemis à l’armée, faisant appel aux censées caractéristiques de modernité et d’égalité de geure qu’auraient les forces militaires de ce pays.
Au Royaume-Uni, le secrétaire de défense a accusé les militaires de me pas l’accès des femmes dans l’armée, de « ne pas permettre la modernisation et la démocratisation des forces armées ». 14
Aujourd’ hui, la guerre d’Iraq demeurera dans la mémoire des masses de tante la planète, avec les photos de la torture perpétrées à Abu Ghraib. Cependant, le désir des Etats-Unis a été celui de créer pour la première foi, une image héroïque transmise par tans les médias, à partir d’une femme soldat.
Quoique plus tard on ait appris qu’il s’était agi d’une absolue opération fictive, créée exclusivement pour la publicité, le cas de Jessica Lynch, censée être secourue d’un hôpital de NASIRIYA occupa les premiers titres des journaux internationaux durant quelques jours. Ce cas de figure a provoqué, durant le mensonge un intense débat sur la pertinence au non de la participation des femmes daus l’Armée.
Doivent-les femmes lutter dans les guerres ? a été la question qui a circulé entre les féministes es spécialistes militaires du monde entier.
Défendant l’égalité d’opportunités pour les femmes dans l´armée ils craignent que l’image de la femme Jessica supposée violée par des soldats iraqiens, avec ses jambes cassées et abandonnée dans un hôpital confirme les convictions dans un secteur de politiciens et de militaires, que les femmes ne devaient pas participer des opérations à risque.
« Cela est horrible, mais je pense que les américains ont peur de qui que ce soit, un prisonnier de guerre, non seulement pour les femmes. Mais je doute que ce faits nous fassent reculer ». Soulignait la capitaine licenciée Lory Manning, directrice de ‘ femmes Militaire ‘, au projet de Women’s Research and Education Istitute. 15
Pendant ce temps, une des intégrantes de la commission gouvernementale qui a étudié l’ incorporation de femmes aux forces armées durant la présidence de Bush perè, a signalé : « Je crois que les femmes sont prêtes, mais pas suffisamment ». 16
Pour cette spécialiste, Elaine Donnelly, « les femmes, pour des raisons psychologiques, ne sont pas en égalité d’opportunités pour survivre aider ser compagnons soldats blessés. » 17
Nancy Duff Campbell, du Centre National de Lois pour la femme a signalé que « le pays a accepté que les femmes pouvaient être capturées, torturées et qu’ elles pouvaient mourir pour leur pays. Il s’est produit une transformation significative, non seulement quant au nombre de positions qui te sont ouvertes, mais au niveau d’acceptation et même dans la fierté du pays, pour le sôle des femmes dans l’ armée . » 18
Linda Burnham, directrice du Centre d’ Appui aux femmes de couleur à Oakland Californie, soulignait dans au article récemment apparu que le soldat Englande, qui est apparue affichée sur les photos des abus et des tortures à des prisonniers iraqiens « c’est la deuxième fille aux affiches de l’histoire par livraisons d’iraqiens sur l’intégration sexuelle des militaires américains. Jessica Lynch a été la première. Deux jures filles, de la classe ouvrière, de province et anxieuses de sortir des limites de l’endroit et de leur entourage. Echapper, elles ont échappé, viens les bras accueillants d’une institution qui a utilisé l’une pour le regroupement national entour du récit au discours sur la consageuse femme en risque, recueillie des sourvages. Et on utilisera l’antre comme tête de turque pour apaiser les angoisses d’une nation à problèmes. » 19
Les dangers subis par les femmes dans l’armée, cependant, ne se réduisent pas seulement aux risques du combat. Deux tiers des femmes soldats ont dû supporter des harcèlements (harcèlement) sexuels, incluant des abus et des violations, de la part de leurs « compagnons d’armes ». 20 Les dénonciations de celles qui été violées incluent des descriptions sur le manque d’attention médicale et phychologique adéquate, l’insuffisance de recherches et les menaces de châtiment per la dénonciation des agressions de alles qui ont été vihmes. 21 A l’arnneé 2001 on a comptabilisé plus de 18000 cas de violence.
Le taux d’abus est entre trois et cinq fois majeur que parmi la population civile. Un 30 % des anciennes soldats ont dénoncé une violation ou une intention de violation durant son service actif.

III- Le Féminisme, la guerre et le paix


«Il est essentiel qu’on se vende compte de cette unité que les cadavres et les maisons détruites démontrent. Et c’est ainsi porce-que c’est celle-ci qui sera martre seule ruine, si vous, dans l’immensité de vos abstractions publiques, oubliez la figure privée, ou si nous, dans l’intensité de nos émotions privées, nous oublions le monde public. Tantes les maisons demeureront détruites, la publique et la privée, la matérielle te la spirituelle, donc liées inséparablement. »
Virginia Woolf. 22

Arrogance impériale, dépravation sexuelle et égalité de genre. Avec ces termes a qualifié la féministe américaine Barbara Ehrenreich les photos d’Abu Ghraib.
Barbara fait partie de la majorité des féministes américaines qui ont soutenu l’égalité d’opportunités qui femmes dans l’armée « perce - qu’elle savait que les femmes pouvaient lutter » 23 . Cependant, après IRAK — et particulièrement après Abu Ghraib — pour cette femme est mont un « certain type de féminisme naif » qui, seller elle déficit auteurs des délits, les femmes comme les éternelles victimes et la violence comme la racinc de tonte injustice. » 24
Beaucoup de féministes radicalisées dans les années 70, comme Barbara, ont compris après que la démocratie était le régime politique qui permettrait de réduire la fissure (brecha) de la pauvreté, de l’accès è l’éducation, de la participation politique qui touche notamment les femmes.
Elles ont cru alors, que la démocratie était l’espace privilégié que les femmes devaient utiliser dans leur lutte pour l’égalité.
Tandis que la perspective plus générale du mouvement féministe des années ‘70 ; avait été anti- institutionnel, les ’80 et ’90 ont réconcilié le féminisme avec les institutions comme l’université, les partis politiques et l’Etat. Du Mai français et les mobilisations contre la guerre au Vietnam, le monde a vécu plus tard l’essai général de ledit « néolibéralisme » avec Ronald Reagan et Margaret Thatcher (une femme patriarcale !) d’un et de l’outre cộté de l’Atlantique. Le détour de la révolution dans les pays du centre a fortifié les régimes démocratiques, et non sons l’appui de leaders de larges secteurs de mouvements avant contestataires qui se sont incorporés aux institutions dans le but de « les démocratiser ». Ce qui était censé représenter la victoire n’a été que la défaite de celle insurgie du ’68, premier pas de ce qui serait une des périodes les plus terribles pour les clases ouvrières et les masses partout dans le monde.
La contre-offensive économique, politique et militaire que l’impérialisme a lancé durant les années ’80, a montré de vraies limites des contestations au système, antérieurs. La recherche d’égalité sans une remise en question profunde du système qui sontient l’inégalité la plus extrême, avait dérive en une cooptation du mouvement féministe. La technocratie de geure qui a permis un nettoyage de visage aux institutions garantes des plans du néolibéralisme, tels que les organismes antres organismes internationaux, s’est nourri de millions de féministes dont la connaissance spécifique, trajectoire politique pour la revendiquation des droits des femmes, etc., leur ont permis d’obtenir un certain prestige. La cooptation a en des politiques, des nous progres et, aussi, des chiffres : en seulement vingt ans (des années ’70 aux années ’90) l’argent destiné aux organisations non gouvernementales s’est accru pour plus d’un 500 %.
D’Après des statistioves de l’année 1992, l’apport de l’ÉTAT et au privé aux organisations non gouvernementales dans le monde entier était d’eu 10000 millions de dollars. Le féminisme de l’égalité transformé en intégration au régime et à l’Etat aboutit en une vieille version (vieillie) et moqueuse de celui, jadis, d’égalité de début de siècle, proclamant que « la paix mondiale, l’harmonie n’existèrent que lorsque les femmes trouveront le droit ou vote et qu’elles pourront eider les hommes à faire les lois ». 25 Avant que commence la Premierè Guerre Mundiale, le féminisme s’était lié au plan international avec de différentes organisations et proclamait la défense de la paix ; quelque chose qui a duré noiment jusqu’au moment d’arrivée la guerre ; occasion au la plupart des organisations féministes se collent aux dictamens de leurs respectifs gouvernements nationaux.
C’Ets que la guerre, comme le soulignait Trotski, exige toujours, la « paix civile », et ainsi, d’importantes représentantes de mouvement féministe ont tu les réclamations contre leurs progrès gouvernements, pour se soumettre à leurs desseins belliqueux.
« Pendant que la guerre durera, les femmes de l’ennemi seront l’ennemi », o souliqué une féministe française ; tandis que la féministe britannique Emmeline Pankhurst changeait le monde son journal « La Sufragette » par le plus suggestif de « La Brittannia », dont le slogan est devenu « pour le Roi, pour le pays, pour la liberté. »
Mais personne n’a tiré ses leçons forcées de ces expériences historiques. Même de nos jours, il y en encore qui soutiennent, en ombliant une partie de l’histoire, que « tout au long de l’histoire du mouvement politique connu comme féminisme, un de ses traits les plus constants e été la manifestation contre la guerre. » 26
Et cela est ainsi, comme vers les années ’80, tandis que dans les postes directifs, dans des places politiques à décision, etc., les féministes considéraient les guerres, les dictatures et les massacres implantées, sonternes et présentées par leurs progres gouvernements comme étant des « erreurs » à corriger, comme des exceptions à éviter, des décisions qui auraient dû être critiquées et auxquelles elles devaient s’ y opposer. Cependant, personne n’avertit que l’une on l’antre étaient inexorablement unies : les droits démocratiques au, mieux dit, les mêmes larges et durables démocraties impérialistes ne pouvaient être maintenues qu’ à partir et au moyeu d’expoliation des pays semi colonies (comme le nôtre, comme Iraq !).

Après quoi, tant est clair, il semblerait ridicule d’entendre dire, de nos jours, à quelques féministes que l’augmentation de la capacité d’influence politique des femmes en une société semblerait se co-relier positivement avec nue croissance de valeur vie ». 27
Il y a peu de pays où les femmes ont atteint même le droit d’égalité à lancer des bombes sur des pays semi colonies, ainsi et de façon égale à leurs pairs garçons !!!
Le féminisme de l’égalité a prétendu obtenir l’égalité pour les femmes vis-à-vis des hommes en un système où les garçons ne sont pas plus égaux entre eux.
Egaux en quoi et à qui ?
Droit à être égal à Bush et à M. Blair au être égal aux garçons prisonniers et torturés à Abu Ghraib ?
Le droit à posséder et à gérer les biens de l’empire Halliburton au à vendre la progre force de travail pour opérer des puits pétroliers en échange d’un salaire misérable ? (de misére-de famine). L’exposé, en lui m^me, semble une abstraction trop scandaleuse dans un monde où les inégalités sont essentielles à son fonctionnement (à sa manche sa nuise au point).
La logique capitaliste s’impose par-dessus le fétichisme de la démocratie plurielle. Dit autrement, la démocratie bourgeoise est le meilleur habit de la dictature du capital.
Quelle ruse ! Droits aux femmes, pour quelques-unes d’entre elles.
Droits formels soutenus dans la plus profunde ponte (le manque) de droits pour des millions de femmes et de garçons exploités, humiliés et massacrés dans les usines, les machines, les peuples opprimés que constituent l’énorme population et la majorité de la planète (L’énorme majorité de la planète).
Mais il y a une antre façon d’expliques cette intégration et cooptation des femmes : « …les femmes qui ont accès au pouvoir des décisions, même si cela n’est peu tom pois le cas, ce sont en général celles qui ont incorporé comme étant le leur l’exemple dominant celles la assumé les formes de faire polítique où sont plantés des critères de valeur qui sont ceux qui habituellement conduisent au recours de la force, à la violence. » 28
Quelques droits ont été acquis, mais à quel prix ? Tandis que les féministes de l’égalité ont promu leur inclusion dans des endroits de pouvoir comme —emponderamiento— pour l’ensemble des femmes, autres féministes ont démontré leur cooptation an accusant ces femmes d’assumer les valeurs patriarcales progres du système que les opprime toutes.
Comme le soulignait Ximena Bedregal, le droit des femmes à être où elles voudrant. Pour d’antres féministes qui voudrions que soient éradiqués les armées et les armes du monde et de la culture, l’accroissement de la participation des femmes dans les forces armées de la planète est un antre triomphe de la masculinité patriarcale sur nos consciences, nos désirs et nos perspectives, un « effacé » de la potentialité (puissance) de notre progre histoire d’antre tés (atretés). » 29
Mais voilà arrivé un antre dilemme : Que sont nos consciences, nos désirs et perspectives ?
« NOS »— à quelle sujet « NOS » on fait allusion ?
Que sont « NOS » dont les consciences, désirs et perspectives ont été effacés par la masculinité patriarcale ?
Pour les féministes de la différence, les femmes auraient une vocation essentielle pour la paix, associée au supposé naturelle d’amour à la nature et à la vie.
Tandis que le caractère masculin serait inhérent à l’agression ; les femmes, on serait plutôt conciliatrices et prêtes à la paix (intermédiaires de la paix).
Le changement proposé par les femmes serait un changement culturel profund, celui qui empêcherait (ou éviterait) les guerres et les dévastations de la nature que de nos jours le pouvoir masculin mère à bout.
Face à la crise évidente du féminisme de l’égalité, le féminisme de la différence soutient la nécessité de ne pas s’incorporer à un monde fait à image et ressemblance des garçons.
La contre-culture à la tête des femmes doit commencer par changer la vie progre, fuyant alors du public et de l’action politique, pour être recluses dans des rapports personneles et la création de nouvelles valeurs subjectives.
Cette nouvelle conceptualisation du féminisme n’a pas été dépourvue de fortes critiques. « Il n’est pas étonnant que durant cette période de guerre et politique réactionnaire, un mouvement conservateur, qui se auto nomme «féministe » ait pris de l’élam. La majorité de celles qui sont
archives sur cette vague, paraissent intéressées, en premier lieu, en leurs croyances et en leurs rapports personnels, écartant l’analyse politique et l’action.
Cette réaction massive dans le mouvement féministe pratiquement a réduit le féminisme à un style
de vie et à une « croissance personnelle », dépourvue d’une analyse politique, d’une agenda et de répercussion. » 30
Si ses débats critiques, faisant face à la cooptation du féminisme de l’égalité, ont été jústifiés, les conséquences théoriques et practiques qui s’en sont dérivées de cette critique ont replié le mouvement féministe, en le désintégrant et lui quittant tout côté subversif.
Le mouvement s’est fragmenté en ville groupes, centres et organisations non gouvernementales qui ont remplacé l’action politique par l’aide, du bénévolat (action bénévole ?) et les programmes d’assistance.
Pour quelques voix critiques, cela signifie rien d’antre que le remplacement de la conscience sociale pour la recherche de profits personnels, quand, en fait, ce qui a été raté c’est « la passion (impetu) pour la transformation radicale de la société au mayen d’une lutte sociale et consciente. » 31
Les féministes de la différence s’opposent à calles de l’égalité, mais en évitant répondre au dilemme qui envisage un système dont la domination des consciences, désirs et perspectives se base, essentiellement, dans l’expropriation des moyens de production par une minorité parasitaire, l’exploitation de la force de travail des millions de millions restants, le pouvoir de l’appareil d’etat en créant un consensus à travers sesinstitutions et, en dennier ressort, la coercition que cette minorité peut exercer sur la majorité pour obtenir le monopole des armes. (rien de moins !).

IV. Une nouvelle fois, « sexe contre sexe on classe contre classe ? » 32


« La lutte contre la guerre n’acquerra un caractère réellement large, de masses, que si dans son sein y participaient les travailleuses et les paysannes (…). Les réveiller leur faire confiance, leur montrer le chemin vrai, signifie mobiliser contre l’impérialisme la passion révolutionnaire du secteur le plus écrasé de l’humanité ».
León Trotsky. 33

L’expérience de la guerre d’IRAK, avec ses soldats tortionnaires de prisonniers, ses capitaines et ses secrétaires d’Etat disposées à assassiner à des milliers de femmes et garçons, d’enfants filles et garçons (aussi enfants), taudis que d’antres millions de femmes se mobilisaient dans tontes les villes du monde contre le fléau de la guerre et d’autres (des milliers) s’allistaient dans des organisations non gouvernementales pour marcher commes brigadistes, médecins et infirmières aux territoires de la bataille, montre une réalisé étant bien plus complexe qu’un simple a affrontement entre femmes portances et créatrices de vie, d’une part, et garçons patriarcaux plongés de bellicisme, de l’autre.
Le féminisme de l’égalité échoue et se plaint devant les sanglantes conséquences qu’a en sa prédication de l’inclusion et de l’égalité des femmes pour avoir l’occasion d’avoir accès à tontes les places où quelques garçons ont exercé le pouvoir durant des siècles.
Leur « maiveté » est morte avec Abu Ghraib, disait Barbara Ehreinreich. Trop Tard, nous affirmons. Nous souffrons l’impérialisme dans ses guerres, ses coups militaires et sa guerre économique permanente contre les masses de nos peuples opprimés.
Trop Tard pour celles qui souffrons les conséquences des plans de la faim imposés par les institutions multilatérales qui, dans leurs bureaux ont des appartements spécialités en « femme et développement » et, même, ils ne doutent pas à l’hème d’avoir des femmes à très haute qualification professionnelle parmi leurs directifs (ici, en Argentine, nous nous sauveurs tours de Anne Krueger). Trop tard pour les mères des jeunes argentins morts à la guerre des Malovines, contre les troupes impérialistes britanniques envoyées par la première ministre Margareth Thatcher.
Trop tard pour qui survivons, dans ce pays, à la décennie ménemiste (de Ménem) qui a produit le majeur tanx de châmage auprès de femmes politiques avec du pouvoir, comme l’actuelle présidiaire Maria Julia Alsogaray, accusée de corruption.
Face à exemples, il semble que les féministes de la différence auraient raison.
S’Agit-il de femmes qui ont adopté l’idéologie patriarcale ?
Mais s’il est exact qu’il existe un continuum entre la violence domestique et la violence publique des conflits belliqueux ; si, comme le disent quelques féministes « les mêmes attitudes et valeurs qui sont sans jacents dans la violence contre les femmes sont allés qui ouvrent le chemin vers l’éclatement de la violence de guerre » 34
Il est nécessaire d’imposer notre « supposée culture » de la paix et de la vie pour changer ce monde tragique où nous vivons. Comment-le faire ? La tâche d’inculquer une contre-culture à tante l’humanité est, franchement, utopique.
Comment « convaincre » l’oppresseur pour qu’il s’ y arrête ?
Outre, de tenir compte que ce ne sont pas seulement les garçons opposites à cette culture de non-violence, amour et soins, mais aussi quelques femmes qui « ont fait progre l’exemple dominant.
Et c’est que la guerre, comme une partie du système lui-même, et dans lequel on vit, s’explique — essentiellement — par son caractère de classe. Oublier cette catégorie dans l’analyse d’une guerre conduit à ne pas pouvoir la comprendre en toute son expression et, donc, ò ne pas pouvoir formuler une politique menant à son affrontement et choc et à son anéantissement.
Au commencement de la Première Guerre Mondiale, les socialistes se montraient disposés à convoquer à une grève générale dans les pays belliqueux, pour empêcher le début de la bataille (contienda). La social démocratie a trahi ces principes révolutionnaires. La grande majorité des députés que possédait le Parti Social-démocrate allemand a approuvé les crédits de guerre dans le Reichstag.
Seulement une petit minorité est restée dans ses principes. La trahison ou mouvement ouvrier international, de la part de sa direction la plus prestigieuse, a été payée avec la mort de millions d’ouvriers aux tranchées d’une et de’antre côte des frontiéres ne signifiaient rien pour eux.
Dans cette petite minorité qui a fait face à la trahison de la social-démocratie, outre Lénine, Trotski, Liebhneckt, se trouvaient Clara Zetkin et Rosa Luxemburg.
Elles aussi avaient organisé les femmes socialistes en des multitudes de Congrès Internationaux où, outre la présentation du 8 mars comme le jour International de la Femme et approuver d’outre wesures favorables aux femmes, on a approuvé la motion de « guerre à la guerre ».
C’était le moment où les féministes les plus réputées (reconnues), même les plus radicalisées, se sommettaient aux dessins de ses gouvernements impérialistes.
Malgré la défaite, la leçon tirée et scellée dans l’histoire pour ceux qui voudront affronter l’avenir en apprenant des expériences du passé : seulement l’effondrement de la bourgeoisie par le prolétariat insurgi pent sauver l’humanité d’une nouvelle et dévastatrice tuerie des peuples.
Peut-être, comme le soulignait Alda Facio dans la IXº Rencontre Féminisme répléchisse et envisage de nouveau le fait de monter sur le train de l’avenir socialiste. Puisque comme l’a dit une femme américaine en 1914, qui est socialiste et n’est pas féministe manque de largeur… mais qui est féministe et n’est pas socialiste, manque de stratégie. Et, où nous eu sommes — existant tellement de femmes dans les Parlements et dans les organismes multilatéraux de « développement » et tant d’autres mourant de faim, d’avortements clandestins et de bombes d’uranium —, c’est peut-être le moment où le féminisme devra y penser, y répléchir plus sérieusement…

1 Rapport de Bagdad des brigades contre la guerre, aux manifestations du samedi 22 mars, publié à CSCA web.
2 Le seul article écrit pas une féministe, que j’ai pu trouver concernanut les tortures perpétrées pas des soldats américaines coutre des prisonniers iraqiens, a été celui de Julieta Paredes dont ce titre : « tortures d’un point de vue du genre » et publié à « la epoca ».
3 Eve Ensler : « monologues du vagin », Bs. As., Planete, 2001.
4 Tomás Maestro : Comment vivent les femmes en IRAK ?, « terra.es/actualidad/articulo/html/act54146.htm »
5 Raport de International Study, Team on the Gulf Crisis, integer par 87 spécialistés de différentes nationalités.
6 James : Les femmes iraqiennes dans les prisons d’Occupation : objets et instruments de violations, publié par le Centre de l’Observatoire d l ?Occupation à Bagdad, 28 mai 2004 à CSCA web.
7 Id.
8 Id.
9 Document d’Amnesty Internationale, Bulletin mars 1995.
10 Id.
11 López Segura : Des Millions de réfugiées et de déplacées onbliées par le monde ; « cimacnoticias.com/noticias/03feb/s03022512.html »
12 STEFANIA BIANCHI : Réseau d’exploitation sexuelle pour soldats l’OTAN et d’ONU
13 ARISTÓFANES: L’Assemblée des femmes. [Praxágora, épouse de Blépiro se met à La tête des femmes déguisés en gargons dans me assemblée au l’ on décide de { livrer le gouvernement aux femmes . wrettre en main.
Ayant battu par cette mations. Là, à travons la ruse (ruse), Praxágora explique á son mari Blépiro comment sera le gouvernement proposé par elle et avec les femmes en tête.]
14 XIMENA BREDEGAL : La féminisation des armées « Triomphe de la parité au piège du patriarcat ?, La Journée, 5/5/03.
15 Soldat-femme capturée en IRAK reouvre débat sour les rôles du geure, « femmes HOY », 26/03/03.
16 Id.
17 Ibid.
18 Susan Baer : Inédit : Des centanies de femmes vont combattre, The Baltimore Sur, 06/03/03.
19 Linda Burnham : « Domination sexuelle d’uniforme : une valeur américaine », Znet en espagnol.
20 TERRY SPAHR NELSON : Par amour à la patrie : faire face les violations et les harcèlements sexuels dans l’armée d’EE.UU.
21 Sara Flounders : La femme en IRAK : enneris différents, Espacio Alternativo.
22 Virginia Woolf : Trois guinées, Ed. Lumen, Bs. As.
23 Barbara Ehrenreich: Un uterus ne substitute pas une conscience. www.rebelion.org
24 Id.
25 Ligue pour les Droits des femmes françaises. Mentionné por Magdala Velásquez Toro ò « Anotaciones para una postura feminista en torno a las mujeres, la guerra y la paz. Publio à www.creatividadfeminista.org
26 FRANCESCA GARGALLO: Le Féminisme est pacifisme pendant que soufflent des vents de guerre, CIMAC.
27 Carmen Magallón Parolés : « Les femmes et le construction de la paix », www.creatividadfeminista.org
28 Id.
29 Ximena Bedregal : La féminisation des armées, triomphe de la parité au piége du patriarcat ?. La Jornada, 05/05/03.
30 LAURA KAMIENSKI : Un défi pour la connuuanté féministe, dans « Feminista, the journal of feminism construction », traduit à « PANORAMA Internacional, www.ft.org.ar
31 Id.
32 EVELYN REED : du « Socialist Workers Party » aux Etats-Unis a traité ainsi un de ses deniers livres de la décennie de l’année ’70, où elle analyse la question de l’oppression des femmes, depuis une perspective marxiste.
33 LEON TROTSKI : « La guerra y la IV º Internacional, dans « Escritos de León Trotsky 1929-1940, édité en CD par le CEIP L. Trotsky, Bs.As, 2000.
34 Carmen Magallón, op. cit.

1 comentario:

Anónimo dijo...

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